Il gioco di Macron e della EU-GB
Primo passo:
creare un nemico immaginario che sembra più pericoloso del potere in carica, poi presentarsi come il suo salvatore. In questo caso l'unico che potrà provvedere alla ricostruzione del paese, dopo che il paese fosse stato completamente distrutto come sopra.
E seconda fase:
provocare la distruzione totale del paese e far credere ingannevolmente al popolo che è questo nemico che ne è responsabile, la cosa migliore è quindi costringere questo nemico a farlo, cioè attaccandolo in modo che reagisca, e con il falso pretesto di un attacco contro se stesso falsamente imputato a questo nemico.
Noam Chomsky, 95 ans :
« Si vous voulez contrôler un peuple, créez un ennemi imaginaire qui semble plus dangereux que vous, puis présentez-vous comme son sauveur. »
Le jeu de Macron - La « dissonance cognitive » et le « langage des oiseaux » se croisent dans l’énigme de la « bête de l’événement ». La dissonance cognitive (2)–
cet inconfort face à des idées contradictoires – surgit quand Macron parle d’une menace imminente tout en restant flou : est-il la « bête » ou son dompteur ? Ce trouble psychologique, qu’il semble cultiver avec son « en même temps », déstabilise le public, le poussant à rationaliser ou à accepter sa vision comme une synthèse salvatrice. Parallèlement, le langage des oiseaux infuse ses mots d’une ambiguïté symbolique : « la bête est là » est un aveu voilé, un jeu sur la dualité entre pouvoir et peuple, où le sens profond échappe au profane.
Autore(i)
Xavier Azalbert, France-Soir 26 marzo 2025
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